« Si j’avais su, je n’aurais jamais fait ; si je n’avais pas fait, je n’aurais jamais su. » Robert Half
« Votre accompagnement m’ouvre la voie de la réappropriation du moi. Je n’aurais assez de mots et de citations pour vous exprimer ma gratitude »
« « Les opposés n’amènent pas dans le monde de la confusion, mais l’harmonie. » Cette citation de Tagore pour vous remercier de nous avoir accompagnés dans ce travail pour notre couple et de nous avoir permis de continuer à tisser du lien dans notre relation »
« Juste ce petit mot pour vous dire que nous pensons à vous, en particulier le mercredi. Merci pour le travail que vous nous avez permis de faire ensemble »
« C’est des moments difficiles mais qui nous aident à nous construire »
Témoignage de patients.
La thérapie de couple
– « La thérapie, est-ce que ça marche ? »
Si marcher veut dire renouer le couple et ne pas se séparer, le thérapeute n’a pas de pouvoir. Il ne peut ni raccommoder, ni l’inciter à se séparer. Chacun prendra ses décisions dans la réalité de leur vie mais l’une ou l’autre décision sera l’aboutissement d’une meilleure connaissance de soi même et de sa façon d’aimer, de ce qui a construit le couple, de ce qui est nécessaire de penser autrement.
– « Comment sait-on que la thérapie est finie ? »
Tout cela va dépendre de l’engagement négocié au départ après les premiers entretiens. Certaines demandes supposent un engagement dans un temps limité, d’autres s’inscriront dans un processus lent. Certains moments paraissent fructueux, d’autres au contraire semblent s’éterniser et rien ne se passe. Lorsque les obstacles aux transformations sont levés chacun ressent la fin de la thérapie.
Consulter seul, à deux ou avec les enfants
– « Peut-on venir seul ? »
Oui mais la demande d’aide porte sur la relation amoureuse ou / et familiale.
– « Si je viens seul, sans l’accord de mon partenaire, est-ce que la thérapie peut apporter du changement dans mon couple ? »
Dans une lecture systémique, si l’un ou l’une change sa place / son rôle dans le groupe, tout le système change. De plus, s’interroger seul dans une relation thérapeutique permet d’élaborer son positionnement et ses attentes vis-à-vis du couple.
– « Si l’un de nous veut se séparer et l’autre non : que se passe-t-il ? »
Pour moi, cette phrase est une parole commune. Quelque chose doit changer. Celui ou celle qui veut partir en est porteur, mais tous deux sont aussi attachés au couple. C’est ce paradoxe qu’il faudra dénouer ensemble, en connaissance des enjeux profonds.
– « Je suis victime de violence. Est-ce que je peux venir avec lui ? »
Oui. Pour les cliniciens du couple, la violence est le fait de l’un, subi par l’autre mais c’est aussi au cœur de la relation que la violence nait et se déploie. Parfois un juge peut décider et rendre obligatoire la consultation an cas de violences conjugales.
– « Il ne dit jamais rien, ne peut pas se confier. Peut-il venir ? »
La consultation dure une heure et laisse de la place à chacun pour parler avec l’aide du thérapeute. Nous pouvons aussi partager des émotions et les mettre en mots.
– « Peut-on amener les enfants ? »
Je fais quelques entretiens familiaux avec les enfants mais la plupart du temps je travaille avec les parents, car en modifiant et en élaborant leur parentalité, l’enfant va mieux.